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  • : fobien le dire
  • : poésie spontanée, créativité et conscience du monde. Utopie et utopie, l'image dans l image, le son dans le son! sans équivoque!
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                                         POPEY IS A SAILOR MAN   POUET POUET ( bis)

 Avant propos :

 

Pièce de théâtre populaire pouvant se jouer à plusieurs en changeant volontairement le texte et la mise en scène et adaptable selon l’humeur du moment. Chaque acteur doit jouer son rôle et ajouter du texte s’il le souhaite sans se limiter.

 

  Postulat de départ :La vérité se trouve dans la réalité mensongère.

 

Les décors ne sont pas nécessaires, et les costumes non plus. On peut jouer nu et devant qui on souhaite, selon son degré de pudeur Les seules conditions au bon déroulement de la pièce sont qu’elle se joue une seule fois et  sans relâche. Il va de soi que l’entrée est gratuite :

Nota Bene : On peut rajouter des accessoires, les fabriquer au besoin, bien que cela ne soit pas indispensable, mais peut permettre à chacun de mettre à contribution sa richesse créatrice.

Petit conseil : pour avoir expérimenté :  Chaque comédiens et comédienne doit se dépasser dans son rôle.

On peut si volonté de l’équipe : se passer du narrateur, le dépasser …..

 

Popey : “  un éducateur ”

Petit blaire: ( PB) “  la victime ”

Notre Mère à Tous : (N M T) : “ la directrice ”

 Gros blaire : (GP) “ l’auteur présumé des faits ”

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Le père de la victime : “  bastôss ”

Les cornichons enquêteurs en civil : “  big  one  big 2 ”

Les poulets fermiers du Gers L “ (PFG): PFG 1, PFG 2, PFG 3 ect  Dans l’ordre d’apparition ”

 

Un matin popey se réveille et comme tous les matins il est de mauvaise humeur Il faut dire que ces temps derniers les lardons sont un peu durs avec lui. Alors pour combler le déficit il avale des boites de “  spinash ” ce qui lui donne assez d’énergie pour délivrer de temps en temps quelques coups de boule bien placés pour avoir la paix. Donc ce matin là, popey, après avoir avalé 3 boites de “ spinash, ” se dit que la journée commence bien, et qu’il a le temps d’aller saluer Olive comme il le fait tous les matins. Il se dit qu’il tient bien le coup finalement, et que la vie a du bon.  Bien sûr les nuits sont longues, et agités parfois. A ce propos, y’a toujours “ grosse bite ”qui se ballade dans le couloir ,les soirs en exhibant sa force physique. Il montre à ses potes comme il est capable de faire rouler ses muscles de la ceinture scapulaire. Il frappe à toutes les portes, et prends des postures imposantes face à qui veut bien le regarder.( les autres ont pas le choix)  Il est plein d’admirateurs, et quand il dit “ file moi ton portable ” les autres lui filent même leurs pompes et leurs slips, Lui, souvent n’en demande pas tant , il les remercie non sans avoir au préalable tout gardé. On l’appelle “ GB ” parce qu' il doit être bien bâti même de ce côté. Déjà il y a quelque temps, dans un autre établissement scolaire il a étalé ses attributs comme on étale un jeu de 32 cartes. Il connaît plein de jeux : Tirer les rois par exemple ; Il distribue les cartes, c’est lui le meneur, celui qui a le roi de pique a le privilège d’étudier l’anatomie du meneur et d’accepter quelques jeux . Lundi roi de pique mardi roi de cœur..et ainsi de suite : comme au poker : pique cœur carreau trèfle.

 Facile comme jeu et les règles ne sont pas compliquées ,à  la portée de tous : même du plus analphabète.  D’abord on se montre nu  puis on se  touche le “ schmilblic ”, doucement  puis énergiquement jusqu’ à  l’explosion,. jusqu’à l’irruption volcanique le bouquet finale, l’expulsion d’un peu de liquide blanc, crémeux., quelques gouttes de vitalité inondent  le marché de sa puissance créatrice. C’est toujours GB qui gagne. C’est lui qui a la plus grosse, qui produit le plus de quantité au cm3 de liquide existentiel, et qui pisse le plus loin. Au dernier concours inter classe il a fini haut la main ,si je puis dire ,en pulvérisant le score détenu par un petit prétentieux sans intérêt, l’autre, détenait le record 2.80m. GB l’a écrasé , humilié devant les gars de sa classe , en pissant à 3.25m. L’autre s’est mis à pleurer, se sentant humilié , provoqué est allé se plaindre aux profs parce que “ GB ”  lui a piqué son portable.  Il est pas  marrant lui , il aime pas perdre et ça le rend con  C’est pas “ GB ”qui lui aurait casser la gueule. Il est pas méchant du tout, GB, pourtant tout le monde le craint.  Il préfère jouer de la queue que des poings, ça lui procure plus de plaisir. De toute façon ça le regarde. D’ailleurs tout le monde le regarde même popey. Le sailor man a vite vu que ce lascar n’était pas dangereux. Bien sûr “  grosse bite ” a essayé d’acheter son silence en lui offrant presque impérativement quelques bonbons au caramels durs qui auraient fini, s’il n’avait refuser catégoriquement de niquer sa vieille dentition pleine de ferraille.

 

 

Popey :

“  Ecoute grosGB, d’accord t’en a une grosse, d’accord t’es fort ,et tout et tout, mais moi tu vas pas me les casser , tu vas te trouver un cache burne et tu vas arrêter de faire la danse du ventre, de face et de dos. L’Anapurna se sera pour une autre fois. Tu vas au pieu directos ”

GB: C’est pas marrant popey j’fais rien de mal ”

popey ( lui soulevant délicatement  le menton avec l’index): Ecoute GB, que t’es envie d’escalader, le mont Igual par la face nord c’est ton affaire, ça fait un moment  que je te vois avec ton jeu de 32. Tu vas pas me la faire. Maintenant il est tard  alors dodo !

GB: ( impressionné) ça va popey t’énerve pas surtout j’y vais.

GB respecte popey, depuis le début. Peut être qu’il le trouve à son goût , avec son petit cul, il faudra qu’il lui propose un jour le même jeu mais avec les valets, toujours est il , qu’il n’a jamais proposé à popey de jouer aux cartes. Popey n’aime pas tirer les rois. Vous remarquerez que les rois sont souvent les mêmes, c’est à se demander pourquoi ? Pour popey que les rois se fassent mettre de temps en temps c’était pas mal. Popey préfère le poker : mais ça c’est une autre histoire….

 

Donc popey sort le matin ,pour une matinée coquine avec son olive préférée, quant, “  PB ”le stoppe net. Ils dandine , se tord dans tous les sens. Imite le vers de terre, ensuite le crapaud, et passe même par le reptile,, s’enroulant tel un serpent visqueux  à ses pieds pour pour mieux le mordre.

“ PB ”.Je sais pas pourquoi il s’appelle “ PB “ celui là  Pas de bite du tout aurait été préférable. Sa mère lui a coupé ce qu’il lui restait. Paraît que sa mère lui a coupé le sexe  à l’age de son dixième anniversaire. Un jour, elle prit le couteau qui lui servait à découper le mouton, s’avança près de PB , lui prit délicatement ses petites  roubigolles, alors que les bourses n’étaient même pas descendues, les souleva tendrement et sans que “  petite  bite ”ressente quoi que se soit lui trancha le sexe sous les testicules. Une spectaculaire coupe franche elle lui  dit : “  vois ton sexe fils , je te  l’ ai coupé , afin que tu restes toujours avec moi. Je te protègerai mieux que personne. Ce sexe  que je tiens dans cette main nourricière qui va empoisonné ta vie et celle de toutes les femmes, je l’introduis dans mon vagin devant toi., et je vais vivre un dernier orgasme libérateur ” Elle prit le sexe de petite bite, et allongée sur le lit, l’introduisit dans son sexe, chaud et humide et après plusieurs frottement violent sur son clitoris poussa un cri de jouissance si fort que “  petite bite ”tomba à la renverse de peur . Il se cogna la tête sur le rebord du lit et perdit connaissance. Depuis ce temps là ,petite bite cherche à comprendre ce qui s’est réellement passé et pourquoi il ressemble pas à ses camarades et surtout à “ GB ”. “ PB ”, a tout de petit, même sa taille, on dirait qu’il a oublié de grandir. Depuis  que sa mère l’a opéré, il a un physique d’un moutard de 7 ans. Ca doit pas être drôle tous les jours.

Popey a de l’intuition, il sent le coup fourré aux nougats des Pyrénées.

Popey : Ecoute “ PB ”, qu’est ce qui t’arrive ce matin, t’a coincé la boulette de chewing dans le plexus solaire ou quoi ?. T’arrive même plus à parler. Vas y quoi !  Tu vas le dire ou le cracher mais tu vas causer.

PB: bruits bizarres

Popey : écoute avale ce qui me reste de spinasch, y’a du fer, je crois que ça ira mieux après !

PB: J’ai pas faim

Popey : Ecoute ptite bite ou tu causes ou je pars( faisant mine de partir : popey a plus d’un tour dans sa besace)

PB: ben voilà y’a grosse bite….bruits bizarre…

Popey : mais encore….Il t’a fait quoi grosse bite… racketté ? !

PB: Oui non  Non c’est pas ça

Popey ( faisant mine de partir une 2ème fois) “  PB tu vois là, j’ai fini ma journée. Tu causes ou je rentre. Salut ”

 

PB:  (c’est plus une tortillade c’est un cancrelat , un guillochi, une danse encore inconnue qui déhanche le haut pivotant sur le bassin, face de 3 quart, roulant les épaules, tête enroulé vers le bas)

 

Popey : ok , on se calme ! qu’est ce qui t’a fait GB : il t’a touché les roubignolles ?

PB: Oui ,non, y’pas que ça !

Popey : Il s’est tripoté devant toi ? Il t’a fait part de son avantageuse pilosité ?

PB: oui non, Ya pas qu’ça

Popey : Il t’a demandé de le caresser, de lui malaxer son vaisseau intergalactique, son instrument à vent ?

PB: oui non c’est pas !

Popey :( il sent que sa matinée d’amour est foutue. Qu’il va passer une très mauvaise journée!, et celle ci ne fait que commencer il est lundi 8h 10 du matin) Il t’a provoqué ?

PB: oui non c’est pas ça. Il est venu dans mon lit

 

Popey : D’accord, c’est tout

PB: non, il a , il m’a, il .. ;

Popey : il t’a perforé l’anus ? il a testé ta profondeur anale avec son accessoire maléfique ?, il t’ a dévoré les intestins ? il t’a montré son extraordinaire puissance mâle, il s’est glissé dans ta mémoire sans , que tu en prennes conscience, jusqu’à la fin de tes jours ? Il a pénétré ta conscience divine, et t’a dérobé ton pucelage anal ? il t’a menacé avec son pistolet à flèche !il voulait peut être te coller la flèche sur le front ?

PB: oui non, c’est pas ça (il se raidit, la mémoire lui revient ? Comme si c’était hier ! chaque geste devient précis,) Il fixe le sol. “ Avec bébert  l’araignée, il se sont couchés sur le dos, ils faisaient un concours d’acrobatie, je crois ; Ils se masturbaient la carelingue , renversés sur le dos, c’est à celui qui enverrait le premier, sa signature ADN au plafond le. D’abord ils rigolaient fort,  et ensuite ils ne rigolaient plus , concentrés qu’ils étaient mieux que des tomates en conserves à l’italienne, j’entendais, “ han, han, ” et donnaient de grands coup de butoirs, à l’infini comme si l’infini était la cause de leur souffrance.

 Bébert la rigole,( on l’appelle comme ça parce que quand il était petit il rigolait tout le temps , souvent pour n’importe quoi. IL affiche un sourire permanent ! Paraît que son père l’a tabassé si fort que depuis il en garde la cicatrice physique  Depuis son père ne le tape plus au visage, parce que ça laisse des traces) il préfére les épaules, le dos. la nuque, c’est plus sympa.

. Plus son père le tabasse, plus lui y rigole, et plus il rigole et plus son vieux le tabasse. Depuis il arrête pas de se marrer le con. C’est lui qui nous l’a raconté. En tout cas moi j’y crois. Depuis il affiche un sourire débile.

Popey : après ?

 

PB: “ bébert la rigole, ” a envoyé le premier, la semence au plafond, même qu’ en  tendant son corps comme un arc, il était plus proche du plafond que GB. Je 62188689_5b47b342fe.jpgsais parce que caché derrière mes couvertures j’ai tout vu. C’est lui qui a gagné. Grosse bite est arrivé derrière à quelques secondes près. GB à dit à Bébert la rigole. “ Ok sale gamin t’es l’plus fort. ” Il s’est levé et il est venu s’essuyer sur ma serviette. Moi je regardais et je ne pouvais même pas faire comme eux. Quand j’ai voulu regarder ce que j’avais entre les jambes, j’avais une cicatrice à la place du manche à balai.

Béber la rigole lui, il rigolait. Ce qui’il adore, c’est remuer son appareil et le faire tourner comme une  hélice. Il dit que qu’il fait l’avion de Saint Xupéry.

ça faisait du vent tellement fort que ça levait ma couverture.

Popey : Saint Exupery tu veux dire

PB: Peut être ; on a étudié ça en français l’autre jour. j’aime bien quand il fait l’hélice bébert, il me fait rire. Je lui disais “  encore , encore… ”Je voudrais faire comme eux : j’peux pas.

Et on s’est endormi

Popey : (patient) après PB, ça doit être moins marrant vu dans l’état où ça te mets.(il tapait juste)

PBL se retournant sur lui même, comme la spirale de Tot .)

J’te l’ai dit je me suis endormi et vers une heure du matin, j’ai senti un fantôme derrière moi. C’était bizarre je rêvais que  j’étais dans les bras de ma mère, je lui suçais les seins. Je me délectais de sa nourriture céleste, ma bouche saturée me provoquait des hoquets, je me rassasiait,  et après une bonne dégueulade, collais mon nez entre ses deux petits  mamelons durcis par le plaisir ou la douleur. Je baignais dans le paradis blanc. Quand une grosse main m’a serré les fesses, prêt à me décoller du centre de la terre. J’ai senti comme quelque chose de dur qui voulait entrer en moi. Cherchant la porte. Cherchant le meilleur passage pour s’exprimer. En même temps j’avais chaud. Une chaleur presque bienveillante, et horrible et glaciale .en même temps. Je ne pouvais plus bouger. J’étais comme paralysé . Je me laissais faire ,cette dureté me plaisait et une infinie douleur me tordait  les boyaux. Quand la chose a tenté une nouvelle fois une exploration  de vénus. j’ai explosé, mes sens se sont réveillés et poussé par l’instinct de survie,. j’ai donné des coups de pieds dans le vide. Mes draps se sont soulevés, et derrière moi s’étalait la lande. Grosse bite était là devant moi et il disait. “ Laisse toi faire, j’te filerai des bombecs demain ? tout ce que tu voudras, j’ai  un super lecteur dvd que j’ai chouré à la fnac. J’t’l file si tu veux. ”

 Je voulais rien du tout., ou plutôt si :j’aurai aimé faire comme eux et jouer à l’hélice de Pery. Y’a un autre jeu aussi…

 

Popey : Ok PB tu souffres, mais pour faire des conneries tu souffres moins. Allez je vais écrire tout ça sur un papier et tu vas signer.

 

PB: en fait je sais pas ce qu’il a fait au juste GB, je vais appeler ma mère et on ira voir un médecin pour savoir si j’ai rêvé ou pas. Tout le monde m’aime et je vais le prouver. D’abord je vais dire à ma mère qui m’aime d’amour, que quelqu’un d’autre qu’elle a essayé de prendre du plaisir avec moi. Je crois qu’elle va pas aimer du tout. D’ailleurs je comprends pas .C’est quand mon père est parti que ma mère a changé du tout au tout. avec moi.

Elle me lavait, me prenait dans son lit,et je faisais souvent croire que j’avais peur du noir. Elle me disait “  Viens dans mon lit, mon amour, mon trésor, viens voir maman. ” Et moi je me collais contre elle, j’adore son odeur, son souffle la nuit, quelquefois ses lèvres douces murmuraient des choses que je ne comprenais pas. Quand elle dormait ,je me glissait sous les draps et rapprochais mon nez de son pubis : celui ci sentait la réglisse. C’est pour ça que j’en consomme beaucoup. Ses dents, dévoreuses d’affectif, affûtés comme des lames de rasoirs, se moquent des circonstances et gare à qui me fera sentir, prendre ou donner du plaisir. Elle coupera de ses belles dents tous les fils de la sensation humaine.

 

Popey : je vais écrire sur une feuille et tu vas signer. “  dans la semaine du tant au tant vers une heure du matin, pendant que je dormais gp est rentré dans mon lit, et a essayé de me pénétrer. Cela m’a réveillé et je lui demandé de sortir de mon lit, ce qu’il a fait. Les autres jours avant, il se masturbait devant moi et me disait “ suce moi ” pour plaisanter D’autre fois il se masturbait et s’essuyait avec ma serviette. ” c’est bien ça petite bite !

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PB: ouais c’est ça ! Qu’est ce que je vais gagner maintenant popey ? Qu’est ce qui va se passer. J’ai peur du noir, des fantômes, je vois que des bites dans mon entourage. J’ai peur elle vont me croquer tout cru. Des monstres de sexe mâles, qui se déforment, se raidissent, puis se déforment. Dès que je m’approche de l’une d’elles , celle-ci se moque de moi, les sexes dressées comme des flèches de cathédrales, ouvrent grand leur bouche, et me crachent leur liquide visqueux à la face. Et moi je crie et je me réveille. L’homme de cro de magnon c’est du gâteau à côté. La nuit, surtout la nuit, je vois ma mère, ma petite mère, si fragile. Je me demande encore comment cette fée, sensuelle, avec ses petits seins, si frêles, avec ce bassin si étroit ? a pu me mettre au monde.  Je suis l’incarnation de la pureté infinie, je suis androgyne, ni mâle ni femelle. Vraiment je me demande encore comment j’ai pu passer, le mur du son.

Depuis que je suis petit, je suis suivi par un psy. Il me suit partout, il me colle avec de la colle blanche. Partout il me colle. Pourquoi il fait ça popey ? quelque fois ce type se transforme. La dernière fois c’est en hirondelle. Il m’a dit : “ approche petit , tu vas me parler, assied toi sur cette chaise. ” J’ai approché la chaise et me suis assis. Il continuais. “  Parle moi de ta mère, de ton père…dis moi qui t’a fait ça ? ” pendant qu’il posait cette question, les bras se sont  raccourcies devenant des moignons, à forme ailée  Sur sa vilaine tête s’est élancé un bec, sur son derrière une queue. Il prit son envol et tournait autour de moi. Il me posait toujours les mêmes questions….J’ai fini par m’endormir.

 

Popey : c’est pas le moment PB. Il va falloir régler le problème je dois faire un “ signalement ”

PB: Ma mère  féline va venir me chercher, de toute façon. !

 

Popey : donc GB “ a essayé “ ”de  pénétrer ton côté lunaire. ? Il a juste essayé t’en es sûr ?

PB: je suis sûr qu’il a essayé, de toute façon c’est pareil. Je vais appeler, ma maman et vous allez tous vous retrouver en tôle. Et peut être toi le premier Popey : non assistance à personne en danger. Je vais te dire popey ; ma mère m’a dit que si j’avais un problème, je n’avais qu’à lui en parler, et qu’elle ferait le tour du monde pour trouver les coupables. Car dans cette affaire y’ que des coupables. Des petits, des grands, des maigres et des gros. Le monde entier est coupable de son existence, le monde entier n’est que souillure, chaos, et bordel. Ma mère va régler cela très vite. C’est la justicière. et si cela ne suffit pas mon père va venir aussi mais pas tout de suite y a pas urgence. Mon paternel, il vient juste pour cogner, tu vois popey. C’est pas des spinashs qui vont suffire. Tu devrais essayer la muscu..

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Popey, ne répond plus. Au fond de lui, les jeux sont faits ou presque, il va rencontrer la directrice. Un fois la lettre envoyée grosse bite est foutu. Il faut gagner du temps. Comme si le temps se gagnait. Dans ce monde il faut toujours tout lier au gain : “  gagner sa confiance ”, “ gagner sa vie ” “ on a tout à gagner à le faire parler ”, “  gagner du temps ” “  on a tout à gagner ” “  gagner son pain à la sueur de son front ” “ obtenir gain de cause ” “ gain d’argent “ Le temps passe à travers moi, et je regarde passer les événements se dit il. Grosse bite est foutu. IL va se faire bouffer . Ils vont le cuisiner, il va se mettre à table même sur des actes qu’il n’a pas commis. La violence arrive se met en place, doucement d’abord. Cela va déborder. Et on va éliminer des existences. On va brutaliser, enfermer, incarcérer des êtres humains. On va torturer des âmes, ou donner du bâton au corps pour l’exemple, on assassine. Popey connaît que trop bien le scénario, le cinéma, la réale fiction est la même.

 Avant il pouvait régler le problème, lui même.

 La solution en apparence est simple : Il suffirait juste de les changer de chambre. Calmer les ardeurs de grosse bite en utilisant cette énergie dans de la création et le tour est joué. Le tour. C’est une comédie, du théâtre ou les comédiens ne sont pas payés, et un jour “ ça ” passe dans le canard On explique : “  La pièce qui se joue devant nous, est une pièce macabre, les comédiens ont bien joué leur rôle . Par contre celui qui joue le rôle de l’auteur des faits, n’est pas sincère. Il faut que son caractère soit plus féroce. Faisons lui les dents longues, un nez crochu, et la face grise. Il faut que le public ai peur qu’il s’enlise dans sa réponse abdominal, il faut que le public jouisse sur sa chaise. Cette jouissance, est la jouissance universelle, réponse à toute les  vicissitudes de la vie quotidienne. IL faut déféquer et jouir en même temps en avalant sans mâcher, des images et des textes porteurs de mort. Plus de famille ,plus de lit conjugal, plus de ressenti, plus d’existence, plus de sensation de découverte du chaud et du froid. “ soyez prudent on veille sur vous ! morts vivants du petit écran, demain il va faire froid : il faudra bien te couvrir ” et le public : refrain :  “ petit papa Noël quand tu pète au dessus du ciel, n’oublie pas mon petit soulier ”

Popey plongé dans ses pensées  ne s’est pas rendu compte qu’il vient de lâcher un pet monumental, l’écho lui revenait et en même temps, toute sa rage. Une rencontre avec la directrice, mère des élèves s’imposait. Après avoir expliqué la situation, la mère des élèves(cette femme est la représentation même de la vierge Marie, qui bénit tous les fruits de nos entrailles) il y a en elle une vocation spirituelle, qui la rend sympathique, popey aime bien s’envoler avec elle. Ils planent ensemble pendant quelques instant et jouissent simultanément de palabre. Ils sont sur le même tapis volant au dessus des anges éduqués et  baignent ensemble dans des certitudes incertaines. La mère des anges a vite compris de quoi il en retournait. Elle comprit vite que si elle ne voulait pas faire la “ une ” de la broute charogne, il fallait aller vite et rencontrer au plus vite les familles. Notre mère à tous a un talent formidable pour déléguer des responsabilités, dans des moments pareils.

 

Notre mère à tous : mon cher Popey, arrêtez de bouffer des pastèques, et des spinash : ça va vous ballonner le bidon, et nous ne pourrons plus prendre de plaisir, si vous continuez ainsi. La face cachée du monde se trouve devant vous. IL va falloir réagir et vite. Rencontrer sur cette face cachée de la lune, les géniteurs de ces créatures, et essayer de vous évader avec eux pour une autre galaxie. Et si en chemin vous rencontrez une difficulté et bien nous en reparlerons lors de notre prochaine rencontre.

 

Popey : Ma mère, je crois vous avoir signalé, aux dernières rencontres intergalactique, l’exubérance de gb. Personne n’a rien fait. Et aujourd’hui c’est à moi de trouver la solution pour sauver des eaux, grosse bite.; il s’enfonce et je crois que nous avec. Si nous perdons gb, nous avouons un échec magistral, et nos rencontres intergalactiques, même jouissives, ne représentent aucun intérêt.

 

La mère : je sais popey et comprends bien votre point de vue, seulement moi je compte, et je compte. Chaque lardon que nous perdons ,représente un pactol d’oseille perdu. Je ne pouvais pas agir, uniquement sur vos intuitions popey. Prenez dons de ces spinash de mon jardin. C’est moi qui m’en occupe….

 

Popey : merci mère , mais je n’en mangerez point.

 

Pendant la semaine qui a suivi, petite bite n’a pas trouvé utile de revenir. La “ victime ”, vit que dalle. La “ victime ”, dégage une odeur nauséabonde. Popey le sent. N’oublions pas que popey est comme les chiens, ce qui le caractérise le plus c’est pas son look ou son physique, mais son flair, caressant l’air. Il est capable de dilater ses grosses narines, plus ouvertes que des aborigènes des Territoires du Nord de l’Australie. L’odorat c’est son point fort. Il se noie dans les odeurs. Sans ces effluves, le monde serait sans goût. C’est bien dans le respire que tous se passe. Popey a essayé à maintes reprises de faire découvrir aux polichinelles, les avantages, physique et psychique d’un bon respire. Les gnards ne s’intéressent pas à ces choses là. Ils ne sentent pas l’odeur de pourriture qui se dégagent de leur pensées. La putréfaction ne sent plus. Ils se trimbalent avec une odeur de mort. La décomposition a commencé depuis longtemps, et popey se sent désarmé. L’être humain ne sent plus et les odeurs ont peur. Pourquoi être odeur ? quel intérêt pour sentir, quel intérêt de toucher. L’ordinnateur de nos sens s’est répandu sur le trottoir d’en face. Il paraît d’après quelque cervelles bien mûres prêtes à exploser, et à répandre leur jus dans nos crânes, par l’arrière, que bientôt l’odeur jaillira de nos ordinateurs, placides, et nous envahira. On va fabriquer des odeurs, comme on fabrique des couches culottes, sans compter….c’est virtuellement possible, ou passible de virtuel .

Ce qui pend au nez de ces chérubins, c’est le résidu d’un cerveau, mal axé toute la journée, des peurs de leur sexe, de leur mort, et ça coule, ça coule de source, jaune, épais, lourd, compact. Et ça coule toujours sans s’arrêter, inépuisable cervelle colorée. Ce qui coule c’est l’insupportable mal être. Depuis leur naissance ,ils traînent avec eux une poubelle, pleine de conflits. Et ceux ci s’entassent pêle-mêle. Dans cette poubelle on trouve pleins de trucs. Un ramassis de problèmes non réglés par ces chers adultes, :rejets, vérités incontestables, douleurs musculaires, projets non réalisé, manque d’assurance, projection de leur propre peur, incapacité à faire, à dire. Nos chères adultes sont emmêlés dans des histoires dites familiales, avec à la clé des conflits de génération, de l’inceste, des fantômes bien planqués, au plus profond de nous, et surtout n’allons pas gratter. Ces chères adultes transmettent tout un tas de maladies. Les lardons voyant le désastre, préfèrent  prendre à leur compte la poubelle des adultes , et vas y pour de l’eczéma, rhum …….et autre maladies congénitales. Il serait bien de vider la poubelle et de faire un tri sélectif, en rendant à l’armée familiale de façon symbolique  tout ce qui lui appartient, toutes les tares, et mal être dont ils sont porteurs et qui les rongent jour après jour.

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La “ victime ” se cache. elle sera absente la semaine : Popey va rencontrer les familles. Il ;veut tenter l’expérience du dire, du colmatage. Le vaisseau fantôme coule. Il n’a que du sparadrap. Incertitude irrationnelle, pathétique destin ou tout se joue, sur un lancé de dé. Chacun n’a droit qu’à un coup. Popey sort les dés. C’est à lui de jouer, il aime le jeu. C’est l’essentiel de l’existence. il lance doucement d’abord. Car il faut connaître la psychologie de l’adversaire. Joue-il subtil ou brutal ? Est ce qu’il est capable de bluffer. ? De nous faire croire qu’il ne sait pas jouer ?. La stratégie est stratagème. Autour de la table de jeu plusieurs adversaires vont s’affronter et le plus rusé, le plus, sensuel gagnera la partie. Les autres vont périr. Il y a dans ce jeu une tension affective, porteuse d’effluves. Popey sent à sa droite car il s’est placé sur le côté, l’odeur de sexe, qui tenue en laisse jusqu’ à présent plane sur l’assemblée. Il va falloir jouer intelligemment. Regardons cette table de jeu d’un peu plus près. Approchons .! La mère de p’tite bite d’abord. C’est elle qui sent le plus , et la réglisse de surcroît. Cette femme  se tend comme un ressort dès que Popey la regarde. C’est une femme de fer. Notre mère à toutes et à tous, s’est enroulée si bien avec elle même qu’elle réussit en un tour de main à se donner l’apparence d’un nœud de chaise, pendant que la mère de  grosse bite, se confond avec la boue, se décomposant avec douceur, donnant l’apparence d’une crème, brune, s’étalant sur la table  Chacun des joueur se protège comme il peut. Elle choisit de s’écraser sur le sol, en faisant un superbe “ splatch ”.. Personne n’a encore vraiment joué qu’elle déclare forfait.

Mère de petite bite : Qu’est ce que tu foutais popey pendant que mon fils bien aimé se faisait mettre, par un salopard. On m’a pris mon petit, on l’a torturé avec des instruments de chair; et sous vos yeux en plus ? mon fils avait votre confiance aujourd’hui par ta faute c’est une loque. Regarde ce que j’ai apporté , voilà mon fils. Elle se lève se  tend encore plus j’usqu’à éclater à la face de popey. Elle sort un imperméable jaune et noir( elle cherche à l’intérieur) Où est mon fils popey. Où est mon fils. Elle s’étend encore plus, elle s’enroule autour de popey, elle viens coller son sexe contre sa bouche sèche

“ .rends moi mon fils ou “ bois ” “ bois ” popey, et tu deviendras moi. Bois de ma quintessence, et je te laisse partir. Les autres n’y verrons rien. Bois popey. Popey est d’une grande sensibilité,il veut bien goûter au réglisse. Au même moment surgit de son passé des images. Les vieux souvenirs de popey vont faire surface, cette femme est en train de gratter dans son passé. C’est l’été , popey est avec un dizaine d’autres compères. Pendant que le vent bat les blés, et que le soleil au dessus de sa tête lui fait des clins d’oeil, il voit allongé comme lui dans l’herbe tendre tous ses camarades. Chacun usant de la main droite avec énergie bragette du short ouverte. C’est les plus grands qui donnaient l’exemple. Ils se débattaient. Lui s’agitait, jusqu’à ce que la tendinite le paralyse. Il comprenait pas grand chose. Il riait. Ce qui le faisait rire c’était pas l’agitation , de sa main droite, ni les douleurs de sa main gauche, encore moins les halètements des plus grands, mais une forme ridicule dans le ciel.

Ce coton s’étirait, présentant parfois une tête de clown, parfois le corps d’un mouton sans patte. A d’autres moments c’était une fleur toute ouverte, rien que pour lui, elle lui disait “ approche Popey, vient approche toi et goutte le sucre de mes entrailles, je ne l’ai fabriqué que pour toi, rempli moi de toi ”  D’un seul coup popey décolle du sol, il s’envole, il se sent  aspiré, Il perd le contrôle du vaisseau. Il monte lentement ,puis de plus en plus vite, et quant il plante son nez dans ce paradis, c’est l’extase. Un parfum indescriptible Le sexe dressé au ciel, il donne tout son corps, c’est l’offrande suprême une vibration encore inconnue, un léger tremblement et le voilà par terre, ses potes sont presque tous debout, il n’y que lui couché ,encore secoué par une force visiblement sans limite.

_“ Alors popey t’en a ? ”

_“ De quoi ? ”

_“ he ben de la jute pardi, qu’t es con ! ”

_“ C’est quoi ça d’la jute ? ”

_“ Laisse tomber t’a qu’à demander à ta sœur ”

_“ Bon allez les gars on va s’baigner ! ”

 

 

La mère de PB  Bon alors, qu’est tu fais popey :tu bois ou tu bois pas ?

Popey : :j’bois pas

 

Mère dePB: dommage, j’crois qu’t’as perdu. L’essentiel de l’existence réside dans l’ablation

Popey : je vais t’en foutre de l’ablation

 

Notre mère à tous en nœud de chaise :  on se calme y’a peut-être un moyen. Y’a qu’a le séparer de ses camarades.

Popey : C’est déjà fait

 

La mère de p’tite bite se jette à la gorge de notre mère bien aimé. Elle lui crache son venin au visage

_ Qu’est ce que tu crois faire avec ça ? mon fils est atrophié et toi tu veux séparer cette loque de ses camarades. Mon fils où il est le fils que j’ai fabriqué. Qui va me le rendre ?

 

Notre mère à tous en nœud de chaise Lâchez moi, vous m’étouffez : ; Je souffre

M pb : Tu vas crever, je vais te faire cracher ce qui te reste de vermine à l’intérieur de ta cage

Mère…. : D’accord on va le mettre dehors mais lâchez moi

Mère de  PB: J’te lâche mais j’aurai ta peau et les roubignolles de cet enfoiré de Popey qui n’a pas voulu boire à la source de la vie. Quant à toi vieille boue( s’adressant à la mère de gb) je ne veux pas entendre le son de tes cordes vocales, l’excrément, ne parle que par l’odeur qui s’en dégage. Tu devrais moins bouffer de pois chiche.

 

La mère de GB/  ARRRG

C’est le moment que choisi popey pour sortir de son fourreau, un sabre japonais fait en Thailande/  Il se met en garde comme ZORRO fait des ronds dans le ciel avec sa lame Il l’approche de la bouche de la mère de p’tite bite  il lui fait le coup de lagardère et hop il rentre sa lame dans le fourreau avec dextérité., il sait que contre du fer l’acier ne fait que des étincelles.

Popey (avec douceur ):  Charmante dame, n’oublies pas que d’après votre médecin, ensorcelé par les vers qui sortent de ce qui te sert de bouche, ton bien aimé n’a pas été perforé. Et d’après ces calculs il n’y a pas eu pénétration.

Mère de p’tite bite : C’est pareil, mon chou. La loi je te l’écrase sur ta tronche de mouche.

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Mère de PBL elle s’élance, se relâche ? S’élance se relâche

Popey : tu te  tends ou tu te détends ?

Mère dePB: je vais vous étendre, vous éteindre tous. Viens mon fils ! Elle prends la manche de l’anorack de p’tite bite, sous l’bras et le tire dehors. Et toi  p’tite bite boucle là ou t’aura pas le sein ce soir.

Mère des entrailles….(à la mère de grosse bite) reprenez vous ,vous n’ allez pas rester liquide toute la nuit :

Mère deGB: et vous pas un nœud parcequ’on pourra plus vous défaire

Popey : emmener votre grosse bite avec vous sous l’bras on peut plus rien.

 

 

Tout le monde sort.

Pour popey c’est un match nul.il  est dix  heure du soir, il est naze. IL va chercher dans le sommeil une solution. Les fantômes veillent les fantômes  Et ce petit con de Grosse bite qui les r’gardait., sans piper mot La seule chose qu’il a réussi à murmurer c’est “  j’ai rien fait moi, j’comprends pas ”

Popey : (pour lui même ) tu vas comprendre et dans pas longtemps face de cake.

Heureusement que le week end arrive. Y faut réfléchir, sa tête c’est même plus une pastèque, ou alors bien purulente.

 

                                          ACTE 2    LES PREMICES DU REVEILLON

 

Lundi matin après un week end tourmenté

 

L’air est rempli de moisissure ; cette poisse se colle contre les murs. Rien à faire pour l’exorciser ? On dirait une mérule. Ce champignon blanc et jaune qui colle est le seul  à produire l’eau nécessaire à sa reproduction, sous forme de petites gouttelettes. Dès que l’air a un degré d’humidité suffisamment saturé , cette in génialité de la nature  pourrit le bois a une vitesse vertigineuse et rien n’est récupérable derrière. Même les bestioles les plus sophistiquées, capricornes, et autres S’y refusent . Une vrai curiosité Elle est indestructible. L’espèce humaine c’est un peu pareil, elle produit, les éléments nécessaires à sa propre destruction, à la vitesse de la lumière. Le point que l’on pourrait qualifier de commun avec la mérule c’est que derrière elle ce qu’il reste n’est absolument pas récupérable, et qu’elle vit comme un parasite. La nature a encore beaucoup à nous apprendre. Avez vous remarquez que les animaux sont moins malades que nous. Nous avons une certaine facilité à transférer notre mal être, aux autres. Tiens à titre d’exemple. Un type constate que son compagnon de chien, traîne la patte gauche depuis un certain temps. Notre gaulois soucieux de la santé de son ami va consulter le véto. Il lui explique, ce qu’il a. “  mon chien   bla bla bla… ”

“ Très bien ” lui dit le véto après avoir apporté toute l’attention que peut porter un gars du métier à cette affaire.

“ Couchez vous là sur ce divan et parlez moi un peu de vous… ” L’autre pas trop étonné lui raconte son histoire.

“  He bien voilà docteur depuis longtemps je souffre d’une arthrose de la jambe gauche.

“ Merci ” lui dit le toubib, et de lui expliquer qu’il  a transférer sa maladie sur son copain le chien. Car par affinité ou par imprégnation celui ci( le chien a pris a son compte la maladie de son maître.)

bien sûr les choses ne sont pas aussi simples, mais bon….

La mère : Mon fils popey, les cornichons, sont à point, on les a sorti du bocal.

Popey : ils sont comment

La mère : comme des cornichons

 

Popey : y sont combien

La mère 2 et  unis pour le pire.

Popey : c’est à dire ?

La mère : Ils veulent, vous coucher sur la table et vous opérer de la tête. Y parâit qu’ils vont vous ouvrir la tête en commençant par le thalamus, vous faire dégueuler votre déjeuner. Ils veulent récupérer  un peu de votre moelle interne, pour l’étudier au microscope.

 : Ils se cachent. Ils adorent jouer à cache-cache. Il faut que vous comptiez jusqu’à 22. Et c’est à vous de les trouver. :

 

 

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popey : et vous ma mère ? ils vous ont touchée ?

 

la mère : S’ils m’ont touchée ? mon fils regardez ! Elle montre son ventre. Ils m’ont auscultée d’abord et en suite ils ont décrété que j’avais pas de ventre . Il me l’on vidé. J’ai plus rien. Allez popey, c’est votre tour il faut compter maintenant.

Popey ferme les yeux : il commence à compter : 1 2 3 4…..22

Quand il ouvre ses yeux de mouette il se trouve dans une salle blanche. Autour de lui les seuls meubles sont : des cages, blanches, . A l’intérieur de chacune d’elle, popey reconnaît chaque lardon plongé dans un bain de souffre., Il y a bébert la rigole, bec de lièvre, tricard, Ils sont tous là bâillonnés, on a dû leur  presser le citron, il sort de leurs oreilles comme un viscosité blanche.

Devant lui deux cornichons, à 2 têtes, et six bras attachés sur un membre tronc tournent  tête à 360 °,une bave blanche, coule le long des commissures des lèvres. Popey remarque que ces étranges créatures sont démunis de sexe. Pourquoi faut il que les monstres soient sans couilles,. Comment peuvent ils se reproduire ? Il faudra traiter cette question un jour se dit popey perplexe.

La mère ne l’a pas prévenu, de la présence de ces monstres. Il faudra en parler plus dans la prochaine guerre des mots. Le monstre a 2 tête tire la langue et lèche la tête de popey. Pendant que l’autre tête lui demande, d’une voix douce :

Big one and 2 : On va voir si t’en a. Tu vas répondre gentiment à toute nos questions. Vois comme je suis gentil et généreux. Mais mon pote il a rien bouffer depuis longtemps. C’est un fin gourmet hein big one ? L’autre acquiesce, sans mot dire. Pour toute réponse un coup de langue bien ordonné, laisse une bévue sur les lèvres de notre héros.

Big one : Alors raconte à big one ce qu’il a vu

Popey : J’ai signalé lors d’une concertation l’attitude de grosse bite envers ses camarades.

Big one :qu’est ce que t’as fait ?

 Popey Je lui, ai, dit de ne pas traîner torse nu dans la couloir de la mort. plusieurs fois.

Big one Pourquoi tu les a pas changés de place ?

Popey Je sais pas moi, c’était juste qu’une intuition

Big one Tu t’enfonces popey : Ton intention était juste pourquoi ne pas l’avoir changé de place ?
 popey : Tu me les brouttes je te l’ai déjà dit face de morve

 Big one : Ok on se calme

 Popey :Moi j’suis pas calme

Big one : : Après racontes à tonton

 Popey : Un jour p’tite bite est venu me voir et m’a expliqué son truc.

 Big one :Qu’est ce que t’a fait

 Popey : Je savais pas si c’était vrai moi, donc je les ai séparés.

 Big one C’est faux , petite  bite nous a dit que…

 Popey : D’accord j’ai d’abord discuté avec grosse bite. il a dit qu’il’ avait rien fait de mal  sauf se gratter la carelingue de temps en temps.

Big one : Il faut avancer, le procu veut faire un exemple tu comprends vermiceau, on a du boulot

Donc t’as pas pris au sérieux, ce que t’a dit p’tite bite.

Popey : Si mon colonel

 Big one J’suis pas colonel , allonge toi là,  Il montre une table de toubib.

 Popey : Qu’est ce que vous allez me faire ?

Big one and 2 avancent leurs grosses têtes en décomposition avancées.

 

 

On va te sucer la moelle  pardi vas y big deux !

Popey : vous avez faim d’accord. Mais moi j’ai pas en vie d’être bouffé tout de suite. Vous comprenez j’ai vachement de trucs à faire. Regardez moi ces tronches. Franchement qui va les récupérer ? Vous aurez l’air  de quoi quand vous m’aurez sucé la moelle. Je suis pas un héros de BD.

Big one : Donnes nous une bonne raison et une seule de ne pas te sucer et on te lâche la grappe.

Popey oubliait quelque chose et s’il loupait l’occase, le gamin était foutu et le chtiard fera la une des journaux le lendemain , et se retrouvera derrière les barreaux et pour un moment Il cherche, fait défiler toute l’histoire en une seconde, des jolies perles de sueurs froides, tombent imperturbables, sur le sol et ça fait : “ tap, tap ”quand jaillit de sa mémoire comme un geyser, la solution. Il peut le sauver.

 

Popey :  Gras doubles et bouffeur d’hamburger aux noisettes, je vais vous faire une révélation qui va vous boucher l’anus pour l’éternité. Macaque du goulag, crânes de babouin, pruneaux des charentes. Crottes de morues, vous oubliez juste un tout petit truc sans importance. L’assassin en question a une petite copine de rien du tout avec des petits pois à faire envie le dernier des mohicans. Il n’a jamais eu d’attitude provocatrice avec elle alors ?

Et ben voilà vous l’avez dans le trou de balle ? vous ne l’avez pas digéré. Vous êtes bien blanc mon honneur.

 

Big one et 2 se mettent à vomir tout le bide de notre mère. Tout le bol alimentaire ne passe pas. Big 1 et 2 se tapent la tête , avec une telle énergie, que les gosses en son abasourdis. Les mains sur leurs oreilles ils n’en perdent pas une miettes. Le spectacle est saisissant, quelle grandeur, quelle beauté, dans l’éclatement des cervelles de ces 2 monstres. Popey est sûr que les gamins se marrent. Popey passe devant chaque grille et ouvre la porte. Les lardons, sautent de joie, certains même se roulent par terre. Vraiment ce spectacle est d’une grande qualité. Le décor est un peu clair, mais ces cervelles sur ce macabre dallage blanc crée une harmonie, indescriptible, les ruisseaux font les grandes rivières.
 Popey : moi j’y connais rien mais  La Vérité, la grande Vérié, je vous le dis messieurs, ne vous appartiens pas, vous n’êtes que le produit de notre imagination malade, nous vous avons créé. Comment peut on imaginer en voyant un vol d’hirondelle que les poulets ont faim ? Le désordre mental c’est votre spécialité, il paraît que vous voulez nous remplacer. Qu’est ce qui vous attire le plus ? matter des jeunes filles, et avec la  suprématie qui vous caractérise dans votre bel uni-forme, faire mouiller leur petit string, et ainsi les maintenir dans la servitude et l’esclavage. Maintenir l’ordre social ? pôvres légumes, vous pouvez couper toutes les mauvaises herbes avec le meilleur coupe coupe du monde.. Le meilleur désherbant , ne suffit pas. La plante s’habitude et développe ses propres résistances, incontrôlables. Et contre ça vous ne pouvez rien. Allez salut !

Popey sort de la salle en maître. Avant de franchir la porte, il se retourne, la tête haute comme Clint  Eastwood  dans “ pendez les haut et court ; ” il lance un jet de salive en pressant la lèvre supérieure sur la lèvre inférieure et leur lance avec mépris mais grandeur : “  au  fait savez vous pourquoi le cul des babouins est rouge ? Il ajuste ces vieilles roubignolles et sort.

 

 

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Deux jours plus tard, dans la salle dites des fêtes. “ des faits ”

 

Répétition de musique hard rock. Avec Eclairage s’il vous plait. Tout marche au poil. Les zicos sont au point. Popey a bossé avec eux. Aucun des gamins connaît la musique. De toute façon ,il n’y a aucune raison qu’ils apprennent. Quand popey a essayé de leur apprendre régulièrement, les gars se sont rebellés. “ On apprends déjà pas l’anglais, tu voudrais tout de même pas qu’on apprenne la musique. Ces trucs c’est pas pour nous . Nous on connaît la musique, depuis qu’on est dans votre monde, on nous apprends toujours le même refrain, vous êtes pas très imaginatif. Nous avec nos potes, ça pète, ou ça crache. Alors tes cours tu peux te les carrer ou on pense. Maintenant avale une boîte de spinash et lâche nous la grappe, c’est pas trop l’moment, de nous distraire, on bosse nous. c’est vrai qu’ils ont bossé sans lui et ça sonne. Ca décoiffe sec.

 Des Accords faux  placés sur  une guitare pourrie et complètement désaccordée ça donne à “ smoke on the water ” un truc hallucinant. Boulez, c’est  d’la crotte de nez à côté. L’avantage avec ces lascars c’est qu’la musique elle n’est pas écrite sur le papier mais dans leur tronche, et suivant l’humeur, le morceau, peut être, mineur ou majeur.

 C’est pendant que le guitariste, crachait toute sa haine, et que le batteur se faisait péter les veines.(Il faut savoir que “  les anges du démon ”c’est leur nom ne sont que deux pour l’instant. Un jour y s’sront connus et tous ceux qui n’ont pas cru en eux n’auront qu’à bien se tenir.), que c’est arrivé.

Les musiciens, stoppèrent net. Les fans, et le public (10 environ),se retournèrent. Grosse bite, chargé de l’éclairage, était le régisseur lumière pour cette ultime répet avant le concert qui tue.

Il y eu comme un tourbillon, un vent violent, faisait voler ,instrument, ampli, micro et tout le toutim. Le public se cramponnait aux chaises, plusieurs aurait décollé si popey ne leur avait, non sans insistance, recommandé de bien s’accrocher. la salle se mit à tanguer, tout était mouvement.

Une voix : :Monsieur grosse bite

Gb : C’est moi

une voix :approchez

gp :qu’est ce que j’ai fait

une voix : prenez vos affaires  au nom de la loi vous êtes en garde à vue.

Une grosse main velue, s’est posé sur l’épaule de grosse bite.

Popey :

Attendez vous n’allez pas faire ça ici ,ils y a le public quand même

Le public : . Ayez un peu de courtoisie. Si vous nous prenez l’éclairagiste, on pourra pas voir le méga concert.

 

 Popey : D’abord qui êtes vous pour nous prendre notre grosse bite.

1 voix : La loi charogne, la loi. C’est moi ! Je vais t’emmener dans l’autre monde. Grosse bite ici pas de salut pour ton âme. Nous allons faire de toi une larve. La grande machine judiciaire te traitera avec toute la courtoisie qui fait sa réputation depuis des siècles, cette larve deviendra cocon, et ce qui sortira de ta mutation, sera un être parfait. Tu n’auras plus aucune envie. Tu ne désireras plus, tu ne baiseras plus sauf avec les anges de ta cellule, si ça te chante. On ferme les yeux. 

 

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Ta pensée sera toujours linéaire, comme le veulent les écrits que vous avez fabriquez  pour vous sauver. Nous n’intervenons que sur votre demande et rien de plus. Nous allons faire disparaître toute résistance et ta douceur égalera celle de la colombe. Tu sera ce que nous voudrons que tu sois et rien de plus et rien de moins.

 Tu pourras courir dans les blés murs, tu voyageras dans la sérénité et le joie permanente. Tu me remercieras plus tard. Nous vous avons tellement étudié que chaque parcelle de vos cellules, nous appartient. Tu intégreras le cortège , et renoncera à l’immondice et à l’indicible. Je suis comme ton cerveau. Le sentiment n’appartient pas à ma fonction. Dès que je sens le danger dans votre fonctionnement j’accoure comme superman, plus vite que le vent dans vos airs, pour faire taire le danger, et si je dois par nécessité de survie sacrifier quelque cellules, je le fais. C’est la vie de la morale de ton espèce qui est en jeu. On ne plaisante pas avec.

 Plus de code et ton corps fonctionne en dépit du bon sens . Ce bon sens vous l’avez rédigé, sur des montagnes de pages, vous en avez émis les plus précises définitions. La machine sait que le vice est votre pain quotidien . C’est la raison de ma présence ici.

Vous popey ,je ne vous autorise pas à me parler. Vous n’en êtes pas digne. Et ne vous avisez plus à me dire ce que je dois faire. Si je cherche dans votre poubelle, je trouverai de quoi rassasier, la faim insatiable de notre estomac.

GB:ça a l’air sympa votre truc je vous suis

L’ouragan disparut comme il était venu, sans crier “ gare ” en emportant grosse bite pour toujours

 

Popey ( aux lardons)   bla bla bla bla………

 

 

 

ACTE  3   “ et vint la fête du sauveur de l’humanité ”

 

Et vint la fête de Noël

Grosse bite s’est sacrifié malgré lui et les choses aurait pu en rester là., mais la fête suit son cours.

La mère supérieure : mon chère popey, les choses sont plus graves que prévues. Ils veulent que nous fassions une nouvelle déclaration. On veut vous “ auditionner ” aujourd’hui même. 14 heures. Il paraît que votre déclare et la mienne ne sont pas conformes. J’aime bien votre pull, chère popey. Mettez moi par écrit le déroulement des opérations. J’ai plus de mémoire. Ouvrez la porte que le diable m’emporte j ‘prendrai bien un p’tit dèj dans mon pull couleur beige.

“ Ça y est se dit popey ”, la mère supérieure, décolle.

Popey : revenez ma mère et allons déposer, une nouvelle fois notre prose sur les pages sacrées. Laissez moi une minute, le temps d’écrire les quelques mots sur une feuille.

La mère : heureusement que vous êtes là mon chère.

 

Popey monte dans son hélicoptère  16 soupapes dernier cri et propose à la mère sans entrailles de bien vouloir le suivre.

Popey :  “  tenez sur ces pages se trouvent la chronologie des différentes rencontres.

 

 

 

 

 

 

 

La mère supérieure  merci !: Prenez et mangez en bien ,ceci ne sont que quelques graines de courges, c’est bon contre les vers intestinaux. Les spinashs c’est bon mais je vous trouve un peu vert ces temps ci, n’en mangeriez vous pas un peu trop? Allez prenez.

Tous les éléments sont contre nous, la résistance est imparfaite. Je vais vous faire une confidence monsieur popey. Je vais vous racontez un épisode de ma vie , que je n’ai encore raconté à personne. J’avais peut être 5 ou 6 ans ma  grand mère se trouvait dans un fauteuil bleu marine. Je me souviendrai de cette couleur jusqu’à la fin de mes jours.

“ Approche ma fille, approche, je vais te révéler le secret de ta famille, tu es une grande fille maintenant. Met ta tête sur mes genoux. Et ne pense plus.

Avant que tu naisses, ta mère a déjà eu un autre enfant avec un autre homme. Tu as les yeux ouverts ?

“ oui répondis je ”. Je ne bougeais pas bloquée, verrouillée, de l’intérieure. Dans mon ventre ça faisait, blugh, blugh, blugh. J’entendais  un mélodie émise par un clarinette. Cette mélodie plaintive, m’enveloppait, comme un linge blanc. La mort n’est rien à côté de cette sensation. La clarinette me perforait l’estomac, cette mélodie, plaintive au départ est devenue agressive, ça montait, montait. Je ne bougeais pas j’attendais. Peu importe les années peu importe les villes.

 Toute ma vie  j’ai entendu cette mélodie et je l’entends encore aujourd’hui. Ma mère a vécu dans le remord. D’abord j’en ai voulu à ma mère, l’héritage , ce fardeau familial peuplé de fantôme. Comment s’en débarrasser Popey ? Déjà pour moi c’est compliqué, alors pour ce gosse ? Qui s’est intéressé à son histoire ? qui a essayer de re-composer le puzzle de sa vie pour que chaque pièce s’assemble. La règle et le règlement, à qui profite-t-il ? Ce lardon a passé 2 jours en garde à vue, humilié. Il a été nourrit par les anges pendant 2 jours, sa mère n’a pas été prévenu. Il n’ y a pas de circonstance atténuante. Qu’est ce qu’une circonstance atténuante ? Ils nous obligent à mettre ce gnard en orbite autour de la norme, Et celui ci va tourner, tourner…..C’est la valse de l’opprobre ! Quel infamie .

 

En regardant, par le hublot de son 16 soupapes, notre éducateur, n’écoutait plus, depuis un moment déjà, il se retenait, il eut envie à plusieurs reprises de l’embrasser sur la bouche et de mêler son parfum à celui de cette femme, rien à faire, il manquait quelque chose.

 

Popey : Ma Dame, nous avons échoué, ne rentrons pas dans un schéma de culpabilité, qui ne résoudrait rien. J’ai échoué et vous aussi. Voilà c’est comme ça. Ne pleurez pas sur votre histoire, ne commettez pas l’erreur de sombrer dans l’abîme, d’une ultime solution. L’erreur réside dans le lien familial et obligatoire. Bien sûr il serait facile de culpabiliser  des paters et mothers, liés par des liens invisibles, à un passé, ou plusieurs éléments s ‘entrechoquent, créant des étincelles, mettant le feu à nos poubelles conflictuelles. Passer au peigne fin , comme un détective privé toute notre histoire, pour en extraire les poux un par un les examiner, et enfin les élever. Plus de la moitié de vos invités obligatoires n’ont rien demandé à l’histoire. Celle ci les étrangle, les presse, les pousse, près du précipice jusqu’à en commettre les actes les plus barbare.

 

Popey s’enerve : avale 2 boites de verdure, d’un coup. Nous sommes amputés de la tronche. L’imagination, ma mère, voilà la guérison à la plupart de nos maux. Nous sommes en manque d’imagination . L’interdiction est sévère et coûte cher. Nous sommes enchaînés, mais c’est rien de le clamer dans mon 16 soupapes.

 

 

 Jouons ma mère jouons ! et pour que le jeu, s’étale jusqu’au plus profond de la galaxie , changeons en les règles et adaptons les à la situation. La situation est dangereuse. Passé le mur du son, plus d’espoir de revenir en arrière. la situation, située dans le temps qui appartient à la raison, perd toute sa crédibilité. Nous cherchons devant ce que nous avons derrière.

 

La mère : nous y sommes, posez votre engin sur la place.

 

Dans la grande maison :

 

2 anges gardien attendaient. Comme d’habitude, il y avait là un bouffi de la cervelle, et un raide de la moustache.

 

Bouffi de la cervelle : Ha ! ha ! quelle histoire !  Par ici ma douce !

Il prit la mère supérieur par l’épaule droite, ils se mirent à parler Anglais. Ce gars avait tout de “ English bob ”

Raide  moustache : Fermez la porte.(il criait maintenant, il avait faim) fière comme la puissance qui engendre la certitude, derrière son piano. Il était vêtu d’une veste queue de pie qui caressait le sol à chaque déplacement.

_ “ Je veux ce popey, je veux ce popey ”, Zébulon, tornicoti, tornicoton ! Le concert commencerait bientôt. Il se mit au piano. C’était un Playel :

” Zébulon, tornicoti, tornicoton ! le morceau que je vais interpréter pour toi Popey ; tornicoti, tonicoton, a été écrit par Jean  Deboue. ”

 

Il sortit la partition jaune. Ce devait être un de ses premier concert, popey  remarquait un léger tremblement de ses mains. presque imperceptible. Début du concerto en fa majeur comme “ on a road again ” de Lavilliers.

Il y a comme un problème, le procu le roi de la jungle, veut savoir pourquoi t’as pas fait la signalement tout de suite ?

Popey : Je l’ai déjà dit : je suis qu’un pauvre gars moi t’sais. C’est la gouvernante qui dirige. Moi tu vois je ne sais pas voler. Chaque fois que j’essaie de voler tout seul, je me scrash. Pôvre gars que je suis. J’ai aucun pouvoir moi, vois ça avec la mère éternelle.

 

Raide moustache : les automates peuvent se promener à poil dans la sphère sans que t’intervienne.

Popey : première fausse note, petit bémol sur le la. T’a oublié, ou mal lu la partoche. Regarde de plus près : il était pas à poil mais torse nu. Les pectoraux à l’air quoi, la  tablette de chocolat ventral, à la codéïne. T’es vraiment qu’un pôv débutant. Encore une comme ça et je vais dire au chef d’orchestre que tu sabotes la partition : Attention !

 

Raide moustache : il reprends, changement de tonalité do mineur, relative mineure de fa majeur. Les pensionnaire font ce qu’ils veulent, ils n’ont même pas les clés de leur chambrée, pour s’enfermer

 

Popey : ha ha ha ha ha, il se roule par terre, il rigole si fort que le lustre qui tenait par un minuscule file, vint s’écraser sur la tête de notre pianiste., popey  ne peut plus se retenir, quelque goutte d’urine non contrôlée, libère sa vessie, Ha ! ha : ha ! Quel nul, quel nul ! La grande circulation ne voudra même pas de toi. Tu  seras réduit en bouillie , au premier stop ! Popey se lève, il soulève le piano, d’une main( n’oublions pas qu’il a avalé 2 boites de spinash  ) et le projeta violemment contre le mur.

Assez joué :T’es un trop mauvais joueur débutant, ou un joueur débutant trop mauvais , tu veux jouer du classique, t’a rien dans ton jeu, qui mérite l’attention de la plus petite fourmi. Tu veux que je te dise, t’es mal barré.

 Si je laisse les clés, au chtiards, t’imagines même pas, ce qu’ils pourraient faire…Je crois vraiment qu’t’as rien dans la citrouille.

 

Raide moustache : reste un peu s’il te plait. T’en vas pas tout de suite. Regarde la partition avec moi. Aide moi

Popey : non.

 

Raide moustache : Mon chef supérieur, nous avons fini

 

Bouffi de la cervelle : rentre avec Mme “  Well, well, I’m very happy to see you. , good bye madame ”

La mère  good bye….

Popey : good bye raide moustasol !

 

Dans la carrelingue de popey :

 

La mère :Ils ont essayé de nous faire porter un chapeau trop grand pour nous ! grosse bite ne reviendra plus, maintenant c’est sûr ! par contre nous devons réintégrer petite bite, dans notre belle maison, au plus tôt !

Popey :Comme il vous plaira ma mère. Nous avons les vacances pour nous éclater la tronche.

 

 

 

 

                                                                              EPILOGUE

 

L’histoire aurait pu s’arrêter là. Quelquefois le hasard improvise des situations des plus singulières.

Dans la salle des professeurs de sciences et autres trucs :

Matin de la rentrée. La lumière est vive, il fait froid . la neige revient, elle a décidé d’imprégner nos vie. Cet hiver doit rester graver, comme naissance et mort d’une âme sur une stèle en pierre.

 

Les voix unanimes : Popey, ils sont là : Bastôos petite bite et sa mère. Ils t’attendent !

“ Soyons désinvoltes, n’ayons l’air de rien , nous survolons des villes, des autoroutes en friche, diagonales perdues et des droites au hasard, des femmes sans visages à l’atérrissage, et les branleurs traînent dans les rues et ils envoient  ça aux étoiles perdues, encore combien à attendre, combien à attendre tostaki ”noir désir, ou désir du noir ! La pourriture pétrie la patte.

 

 Bastôss : Rendez vous vous êtes cernés,

 

Bastoss, c’est la father de petite bite. C’est une montagne, velues, et les hirondelles, pourraient faire leur nid sous les aisselles. L’haleine chargée de cet adipeux, contourne les angles, et se pose comme un aéroplane dans le cendrier. A l’attaque, desserrer  les boulons.

On ne trompe pas popey. Ce gars là n’est pas venu pou écouter un nouveau conte de faits. IL veut manifestement lui arracher la tête. A mains nues.  Son haleine fétide, empoisonne l’air.

 

 

Bastôss : Qui t’es toi pour t’occuper de ces gosses. Qu’est ce que t’as comme diplôme ? pourquoi ci et pourquoi ça ? Patali et patala…

Cet homme est rouge, popey se lève. Petite bite s’est envolé. Madame petite bite croise les jambes en laissant volontiers apparaître largement le dessus de ses maigres genoux. C’est  le moment que choisit la grosse brute pour sauter au cou de popey. Il le souleva d’une main et le cala sur la table de discussions éducatives. Il lui enfonça ses deux doigts dans les yeux, il appuyait fort , lui crachant à la figure. Petite salope, petite salope, popey essaya à plusieurs reprises de donner des coups dans le vide en hurlant de douleur. Il continuait/ “ Mais qui t’es toi face de rat pour laisser faire des trucs pareils. C’est toi qui a mis tout ça en place. tu veux faire de mon fils une victime…

 

Popey :  Argh, lâche moi

 

Bastösss : écoute moi cet enfoiré, que je te lâche ?, je vais te faire bouffer ta merde moi, il pressait de plus en plus, .

Popey changeait de couleur, il ;passa le rouge avec facilité, mais pour le vert c’était plus difficile. Il aurait du avaler une boite de Spinash avant de venir, Il aurait pu répondre mais là rien. L’autre l’attrapa par les bras et l’envoya contre le tableau, sur lequel figurait l’état des absences. Malgré une douleur dans les yeux terrible Il eut le temps de voir que Petite bite était absent depuis plus d’un mois. Il s’écrasa sur le tableau. Cette bête féroce , ne va pas s’arrêter là, il le rattrapa non sans mal, il tirait sur sa tête si violemment que son cou s’allongea, bien de 10 cm. . Il tirait si fort que les vertèbres cervicales de popey, lâchèrent. Le monstre riait, riait. “ Quel pantin ce popey. ! ”

Popey : la tête dans ses mains le suppliait d’arrêter, mais l’autre prenait du plaisir. Un plaisir intense sans équivoque, il prit de ses grosses mains 2 cymbales qui se trouvaient là. Et tapait, tapait sur les oreilles, tant et si fort que popey, ne savait plus s’il disposait d’une cervelle car à partir de cet instant , il vacilla, cherchant à se reprendre à des moments de lucidité, mais rien n’y fit.

Des gens semblaient rentrer et sortir, quand un moment il crut reconnaître la mère éternelle. Le fauve n’était plus maître de lui, il s’acharnait sur ce pauvre popey !

La mère éternelle/  Allons messieurs un peu de tenu. Et vous monsieur popey, je vous ai connu plus perspicace. Allez un peu de décence, et vous monsieur l’ogre cessez je vous prie d’importuner ce pauvre zéducateur : il a toute ma sympathie, et , en outre c’est  un bon professionnel et je n’ai rien à vous dire sur ses compétences. Maintenant si vous voulez que votre lardon  vive en bonne entente avec son environnement, cessez immédiatement. L’ogre lâcha sa proie.

Popey tomba par terre, il fallait sortir de ce labyrinthe.

 

La mère supérieure. Monsieur, la Grande justice a fait ca qu’il fallait. Le lardon est passé en comparution immédiate. Il va passer en criminelle. Alors monsieur, aussi bastöss que vous soyez, calmez vous.

 

Bastôss le mastard/ Bien madame, mais cet homme, je le veux, et je vais en finir ! Il embrasse sa femme sur la bouche, donna une tape sur l’épaule gauche de son fils et sortit. Suivi de son clan.

Popey : je meurs

 

Mère éternelle : C’est pas encore l’heure ! allez les lardons patientent dehors.

 

 

 

Quelques jours plus tard, la vie devint impossible pour petite bite. Celui ci abandonné de tous, rejeté, par ses potes qui n’en sont pas, fut obligé de quitter l’établissement. Il s’envola pour une autre galaxie. Quant à grosse bite, paraît qu’il serait rentré dans un autre lycée. dont nous tairons bien évidemment le lieu, pour des raisons évidentes de sécurité. en ces temps de vigipirates  renforcés.

 

 

 

Suite…….

 

Un matin popey se réveille et comme tous les matins il est de mauvaise humeur Il faut dire que ces temps derniers les lardons sont un peu durs avec lui. Alors pour combler le déficit il avale des boites de “  spinash ” ce qui lui donne assez d’énergie pour délivrer de temps en temps quelques coups de boule bien placés pour avoir la paix. Donc ce matin là, popey, après avoir avalé 3 boites de “ spinash, ” se dit que la journée commence bien, et qu’il a le temps d’aller saluer Olive comme il le fait tous les matins……3532139282_db3d518a5e.jpg

 

 

 

 

 

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